Léon, viens rendre visite à la mére de la petite Sophie, Il frappe , la porte s'ouvre, mais elle n'était pas fermée, Léon s'aventure dans l'appartement, entends es soupires plus loin. Ils viennent de la chambre s'emble t'ils, Il jette un regard par a porte entrouverte. Léon aperçoit une femme allongée , une main ente ses cuisses largement écartées,  Qui n'en doutont pas se caresse le clito. Notre bon léon toujours prt à rendre service, propose à la dame son aide. Comme s'il n'y eu pas besoin de répondre, la dame, se poste en levrette, présentant ainsi, un abricot trempé entre deux fesses rebondies. Léon n'y tiens plus, il baisse son pantalon, En sort un gourdin long épais, empoigne les fesses jouflues de la dames, s'introduit dans le premier orifice venu.  La queue épaisse et longue de Léon faisait des vas et viens incessant dans le vagin de Giselle, J'oubliais, Giselle c'est la femme qui attends de prendre des coups de queue tant qu'elle peut. Léon de s'épuiser à tanter de faire jouir cette femme, Tiens, je change de trou, ainsi fait, le membre défonce le trou du cul de Giselle, quiq ne peut se retenir d'hurler, de douleur ou de plaisir, on ne le sauras jamais. Le cri de Giselle, fit se présenter sur le pas de la porte de la chambre, la petite Sophie, qui, contemple pendant quelques instant la scéne, qui eu pour effet de faire s'enfler un peut plus le membre déja puissant de Léon, en même tant d'exciter un peut plus la mére.
Viens dit la mére, nous aider, Sophie, hote son maillot, qui découvri de jolie petit seins encore tout rose, dégrafe sa jupe, qui lui tombe sur les pieds, saute sur le lit, debout devant Léon lui montre sa fente poilue quelle écarte, bien qu'étant encore pucelle, aime à se faire lécher, Léon la mére au bout de la queue, la fille au bout de la langue, il n'en fallait pas plus pour le faire jouir dans l'orifice anal de Giselle.
Epuisé, léon s'allonge sur le lit, se place tête bêche avec giselle, de manière a avoir son membre a demi bandant dans la bouche de celle ci,
Mais c'était sans compter sur la petite Sophie, qui voulait elle aussi gouter au foutre, La maman sympas, lui met le vis dans la bouche, pour lui apprendre à faire des pipes.
Léon continu de lécher et d'aspirer le mélange de mouille et de foutre qui coulait de la chatte de Giselle
Quel délice
Un scénario fantasmagorique, qui nous  viens à l'espit pendant les conversations solitaire de types qui manque de femmes. c'est aussi pour cela que l'on nous nome vieux cochon.